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Notre droit d'expression
La place qui nous est accordée semble bien limitée au regard du droit de réponse de Monsieur le Maire et de la place largement disponible qui entoure une fois de plus notre article.
Un droit de réponse : la majorité aurait donc des points à justifier ? Quand on se sent serein est-il nécessaire de relancer une polémique en rétorquant?
Et qu'est-ce à dire quand on lit dans le détail le dernier bulletin qui reprend, en se justifiant, un grand nombre de points que nous n'avons de cesse de soulever lors des conseils municipaux.
Retrouvez notre article intégral dans la rubrique : publication Bulletins municipaux
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Commentaires
1SandrineDimanche 12 Juillet 2015 à 20:40Droit de réponse de la mairie... C'est ce qui vous dérange... Moi, ce qui me dérange c'est que votre rubrique s'appelait "mot de l'opposition ". On peut ne pas appartenir à la même liste que l'équipe municipale et ne pas s'opposer à leurs idées ou actions. Vos idées ne sont pas pires ou meilleures que les leurs. Laissons leur une chance de faire quelques choses lors de leur mandat sans leur mettre constamment des bâtons dans les roues. Il sera grand temps de faire un bilan plus tard. Ce que je remarque, c'est que vous avez décidé de ne plus communiquer dans le bulletin municipal. Ils ont donc gagner une bataille ! Qui pensez-vous prendra le temps d'aller sur votre blog si ce n'est vos partisans ? Résultat: vous ne ralierez personne à vos idées ! Pas si bête cette équipe municipale! Non ?!
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Madame,
L'équipe éditoriale du bulletin municipal nous a elle même nommés comme l'opposition...
Nous sommes là pour défendre les intérêts de la commune dans la continuité des projets que nous avions chiffrés dans notre programme. Nos idées ont été quand même été retenues à 4 voix près par les génissacais. Loin de nous de nous opposer par principe, mais force est de constater que nos propositions, nos remarques, nos analyses sont écartées de façon systématique et non pas de manière constructive!
Nous ne pouvons pas continuer d'écrire en étant censurés, nos propos étant de ce fait vidés de leur sens ! On ne peut commenter des décisions qui engagent la commune pour plusieurs décennies en 600 caractères ! Nos inquiétudes portent essentiellement sur des dépenses pour des projets faits dans la précipitation et décidés en comité restreint.
Nous sommes en train de travailler sur un format de diffusion de nos réflexions au plus grand nombre, n'ayez pas d'inquiétude à ce sujet.